… est Centbornard
C’est cette catégorie de coureurs à pied pour qui l’effort d’un marathon ne suffit plus à les combler ou à les motiver, et qui s’adonnent à des courses de très longue distance : 100 km (cent bornes) et au delà.
D’ou le qualificatif de « centbornard » passé dans le langage courant des initiés.
Une des plus anciennes épreuves du genre, créée en 1972, et des plus réputées en France « Les 100 km de Millau »
Cette année là, notre Joël est assez satisfait de sa performance : treizième sur plus de 1200 participants.
Son chronomètre, assez moyen : 8H53min48sec.
Des conditions de courses dures. Comme toujours. Denivelés important, chaleur torride…
Surtout notre athlète reconnait avoir souffert un vrai martyre : crampes à partir du 50ème km, spasmes abdominaux à partir du 60ème, puis vomissemennts et plusieurs arrêts au bord du malaise…
Aussi dans le contexte n’est-il pas trop mécontent de son résultat.
Par contre, selon son propre aveu il aura mis » plus de 2 mois pour s’en remettre », c’est à dire pour retrouver un rythme d’entrainement, de performance et de sensations « comme avant ».
Joël a eu l’occasion, invité par une amie, d’assister à une conférence sur la spiruline; les références médico sportives du conférencier l’y ayant incité.
Habitué comme quasiment tous les sportifs, à utiliser forcément et très régulièrement des compléments nutritionnels, des vitamines de toutes sortes et autres boissons dites énergétiques, il avait effectivement lu quelques vagues publicitaires sur la Spiruline et l’activité physique et sportive dans des revues spécialisées. Sans plus.
Ce soir là, après avoir harcelé l’orateur de questions précises et pertinentes, il fut convenu d’un rendez vous ultérieur afin de mettre au point un protocole spécifique exclusivement à base de spiruline.
Protocole qu’il allait appliquer scrupuleusement dans les mois suivants tant en période de travail foncier, de récupération, comme pendant les épreuves elles mêmes.
Dans la foulée, notre Joël se présente l’année suivante, confiant au fameux « 100 km de Millau ».
Résultats :
– « Un parcours de rêve » « Pas une seule crampe, pas une fringale… »
– en guise de « récupération » il s’est même offert un marathon (42 195 km), la semaine suivante…
– quant aux résultats chiffrés : 1er français en 6H59min !
Près de deux heures de gagner sur un pareil parcours, avec une telle aisance ont, bien évidement suscité deux ordres de réactions pour tenter d’expliquer la performance :
Produit Miracle pour les uns ! ou. Dopage pour d’autres !
Article issu du Livre Spiruline » L’algue bleue de santé et de prévention » – Dr Jean Louis Vidalo